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Présentation

Cancer et environnement : un enjeu de santé publique

Les répercussions des modifications de l’environnement et des modes de vie sur l’augmentation de l’incidence de certains cancers, sont devenues une préoccupation majeure de santé publique. Si l’on tient compte des évolutions démographiques, en particulier du vieillissement de la population française, l’incidence des cancers a progressé de 48 % chez l’homme et de 46 % chez la femme entre 1980 et 2005 (Belot, 2008).

Si les pratiques de dépistage notamment pour le cancer du sein et de la prostate, ainsi que l’amélioration des moyens diagnostiques expliquent la plus grande partie de cette augmentation, celle-ci est également la conséquence d’une évolution du risque de cancer, sans qu’il soit possible, en l’état actuel des connaissances, d’estimer avec précision la part de l’augmentation liée aux expositions environnementales.

Quelle définition de l’environnement ?

Les définitions de l’environnement varient selon les organisations. Dans sa définition large, l’environnement désigne tous les agents physiques, chimiques ou biologiques (les virus et bactéries), auxquels un individu est exposé dans son milieu de vie et milieu professionnel (Anses).

Tandis que certains utilisent une définition plus restrictive de ‘l’environnement’ en excluant les expositions professionnelles, d’autres organismes, dont l’OMS, intègrent également les facteurs relatifs aux modes de vie et les comportements individuels (tabagisme, consommation d’alcool, alimentation, activité physique…), c’est-à-dire tout ce qui n’est pas génétique.

La notion d’environnement retenue sur ce site comprend les agents physiques, chimiques et biologiques (virus) présents dans l’air, l’eau, les sols ou l’alimentation, auxquels les individus peuvent être exposés dans les différents lieux de vie, que ce soit l’environnement général (eau, sol, air, habitat, pollution…) ou le milieu professionnel ; certaines substances peuvent être présentes dans les deux milieux. Certains de ces agents sont connus pour augmenter le risque de cancers, d’autres sont suspectés cancérogènes et font l’objet de recherches pour améliorer les connaissances. Dans la rubrique « Nutrition et activité physique » de ce site, nous nous intéressons également aux comportements individuels et modes de vie en lien avec l’apparition d’un cancer, et en particulier le rôle de la nutrition et de l’activité physique.

Un lien établi, mais des estimations variables, à l’origine de controverses

Les estimations du nombre de cancers attribuables à des facteurs environnementaux peuvent être variables en fonction de la façon dont le champ ‘environnement’ est délimité, selon les sources de données utilisées parfois divergentes, et dans la façon dont sont prises en compte les incertitudes. Cette variabilité est une source fréquente de controverses.
Si on se réfère aux données de la littérature scientifique et aux rapports des agences sanitaires nationales et internationales (InVS, CIRC, OMS) : 4 à 8 % des cancers seraient liés aux expositions professionnelles ;

  • 5 à 10 % des cancers seraient liés à des facteurs environnementaux stricto sensu. La variabilité géographique des cancers dans le monde, mais également en France, souligne le rôle de facteurs environnementaux dans le développement de cancers.
  • 25 à 30 % des cancers seraient imputables aux comportements individuels (tabagisme, alcool, obésité, inactivité physique).

A noter que certains affirment que l’environnement pourrait être impliqué à un stade ou un autre dans l’apparition de 80 % des cancers : ce chiffre est à interpréter avec beaucoup de prudence. Tout d’abord, il s’agit d’une hypothèse qui repose sur une définition très large de l’environnement comprenant les risques biologiques, les facteurs liés aux comportements individuels, modes de vie et l’environnement socio-économique (tout ce qui est non génétique). Ensuite, cette hypothèse tient compte du fait que le développement d’un cancer (cancérogénèse) résulte d’une accumulation de plusieurs altérations successives tout au long de la vie d’un individu, et est la conséquence d’une association de plusieurs facteurs, appelés facteurs de risque, dont le rôle et l’importance dans le développement de la maladie sont très variables.

Certaines personnes présentent des facteurs de risque de cancer personnels considérablement accrus par rapport à la population générale. On estime ainsi qu’environ 5 % des cancers sont associés à une mutation constitutionnelle héritée. Ils sont liés à la présence d’un gène de prédisposition muté dans le génome de l’individu atteint (par exemple les gènes BRCA 1 ou BRCA 2 sont des gènes de prédisposition au cancer du sein et/ou de l’ovaire) (INCa, 2009).
L’expertise collective de l’Inserm de 2008 rappelle plus largement le rôle des polymorphismes génétiques. L’étude de leurs effets dans le développement de cancers et de leurs interactions avec l’exposition aux substances toxiques représente une part importante de la recherche actuelle en épidémiologie des cancers. Ces polymorphismes peuvent avoir un impact important au niveau de la population si leur fréquence est élevée.

Alors que les liens entre environnement et cancer sont devenus une préoccupation de santé publique (en témoignent notamment les mesures du 2ème Plan cancer 2009-2013 et du 2ème Plan National Santé Environnement 2009-2013), rappelons ici l’évolution de l’environnement au XXème siècle. En effet, l’amélioration progressive des conditions socio-économiques et les progrès de la médecine ont transformé nos milieux de vie et entraîné une augmentation importante de l’espérance de vie en France : de 48 ans en 1900 à 80 ans en 2004 (Pison, 2005), celle-ci elle a progressé de 65 % en 100 ans. Depuis 2004, l’espérance de vie a dépassé 80 ans. 70 % des atteints de cancer en 2008 avaient au moins 70 ans. Même si les cancers peuvent apparaître à tout âge, ils sont beaucoup plus fréquents à partir de 60 ans.

Classification des substances cancérogènes

Les agents ou substances susceptibles d’être cancérogènes sont classés selon deux types de classifications.

L’une internationale, est proposée par le CIRC qui a évalue depuis 1972, 1003 agents ou substances (au 26 janvier août 2018), classés au sein de monographies :

  • Groupe 1 : L’agent est cancérogène pour l’homme (120 agents)
  • Groupe 2A : L’agent est probablement cancérogène pour l’homme (81 agents)
  • Groupe 2B : L’agent est peut-être cancérogène pour l’homme (299 agents)
  • Groupe 3 : L’agent est inclassable quant à sa cancérogénicité pour l’homme (502 agents)
  • Groupe 4 : L’agent n’est probablement pas cancérogène pour l’homme (1 agent)

La définition de chaque groupe se trouve dans le préambule aux monographies du CIRC (en anglais seulement sur le site du CIRC ). Voir aussi la Fiche La classification des substances cancérogènes par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).

L’autre classification, européenne, est à visée réglementaire.

Une interrogation croissante de la population

Parallèlement aux préoccupations de santé publique, le lien entre cancer et environnement est devenue une source d’interrogation croissante de la communauté scientifique et plus largement de la population française. Une enquête nationale menée en 2005 auprès de plus de 4.000 personnes par l’INPES sur les représentations et attitudes du public, a montré que parmi les causes les plus souvent attribuées au cancer, après le tabagisme et l’exposition au soleil, viennent des facteurs environnementaux comme la pollution de l’air, les aliments traités avec des produits chimiques (pour environ neuf enquêtés sur dix, et la proximité d’une centrale nucléaire (72 %) ; il n’en demeure pas moins que certaines croyances solidement ancrées vont relativiser ce risque et peuvent soutenir des comportements dangereux pour la santé à long terme (Beck, 2006).

En 2007, l’INPES a réalisé une enquête (« Baromètre Santé Environnement ») au niveau de la population, permettant de disposer d’indicateurs quantifiés sur les attitudes, connaissances, opinions et comportements de la population de métropole dans les domaines de la perception des risques environnementaux, la pollution des sols, la pollution atmosphérique, la pollution de l’air intérieur, l’habitat et le logement, les risques d’intoxication au monoxyde de carbone, de radon, la perception des risques liés à l’eau, aux légionelles, au bruit, ainsi que la problématique de la téléphonie mobile (Ménard, 2008). Selon cette enquête, réalisée auprès de 6.007 personnes âgées de 18 à 75 ans, le cancer constitue la première crainte de maladie liée à l’environnement : 44 % des personnes interrogées estiment courir un risque « plutôt élevé » de développer un cancer lié à l’environnement au cours de leur vie.
Cette enquête montre également que les Français se déclarent dans leur ensemble particulièrement « sensibles » à l’environnement : 51.3 % se qualifient de « sensibles » et 20.9 % de « très sensibles » à l’environnement. Cette sensibilité varie en fonction de la situation géographique, du sexe (les hommes apparaissant moins sensibles à l’environnement que les femmes), du niveau d’éducation et de l’âge des personnes interrogées.

Cancer-environnement.fr : répondre aux besoins d’information

Les perceptions des individus sur les facteurs de risque environnementaux ou professionnels divergent parfois des connaissances scientifiques sur le sujet. Malgré une présence croissante du sujet dans la presse médicale et les médias, plus d’une personne sur deux se déclare insatisfaite de l’information reçue.
Confrontés à une demande d’information croissante de la part des patients sur les risques sanitaires liés à l’environnement, les médecins déplorent à leur tour, le manque d’informations fiables et facilement accessibles sur cette thématique.
Face à la prise de conscience du risque cancérogène de certaines expositions, plus d’une personne sur deux (51,4 %) se déclare insatisfaite de l’information reçue, 60 % d’entre eux jugent l’information insuffisante, 20 % considèrent avant tout qu’elle est mal expliquée et 18 % qu’elle n’est pas fiable (Baromètre IRSN, 2007). Sur le radon, seulement 11.8 % des personnes interrogées se sentent bien informées. Ces données montrent également des disparités régionales en termes d’information reçue, une disparité géographique qui se rajoute aux disparités déjà constatées en fonction de catégories socioprofessionnelles face aux expositions environnementales. Enfin, selon un sondage IPSOS pour l’Assurance Maladie (CNAMTS) un quart des salariés, toutes professions confondues, pense être personnellement exposé à un risque de cancer professionnel ; parmi les ouvriers, ils sont 43 % à exprimer cette crainte (CNAMTS, 2007).

L’information des patients, du public et des professionnels de santé sur les liens entre santé et environnement fait partie des axes et recommandations du PNSE 2, du Plan Cancer 2 et du rapport « Cancers et environnement » de l’Afsset publié en 2009. Le portail internet cancer environnement s’inscrit ainsi dans ces objectifs de santé publique.

  • Charte éditoriale

    Le portail internet www.cancer-environnement.fr a pour objectifs de :

    • faciliter l’accès aux connaissances scientifiques, médicales et techniques par pathologies cancéreuses et substances cancérogènes, utiles aux activités de recherche, aux débats, aux réflexions et décisions (sélection des informations, appropriation des connaissances…).
    • développer les connaissances et les compétences des différents publics, en contribuant d’une part, aux actions de formation des personnels du Centre Léon Bérard et du réseau régional de cancérologie, et d’autre part, à celles d’information des patients, des proches et usagers. Le site contribue à améliorer la compréhension de l’origine de certaines controverses et à distinguer les connaissances acquises de la science de celles qui restent à confirmer.
    • développer la coopération entre les différents acteurs de l’environnement, de la cancérologie et des milieux professionnels de la recherche et de la prévention, pour la mise à disposition d’informations de qualité à destination des publics.

    Des principes méthodologiques rigoureux

    Le site internet cancer-environnement.fr correspond à l’instrument clé dont le Département Prévention Cancer Environnement se dote pour fournir et développer, à destination des différents publics, des informations de qualité sur les risques environnementaux de cancer, les expositions évitables et la nutrition.

    Le choix d’une ligne éditoriale

    Une ligne éditoriale du site correspond au style général employé pour la rédaction de l’ensemble des contenus du site. Les principaux publics cibles sont les professionnels de santé non spécialistes en santé environnement (médecin généraliste, oncologues médicaux, chirurgiens, médecins du travail, infirmière, chercheur…), ainsi que les patients atteints de cancer, leurs proches ou les usagers souhaitant s’informer et mieux appréhender le sujet.

    Le choix d’une porte d’entrée unique a été motivé par l’expérience du programme SOR montrant que les questionnements d’un professionnel de santé non spécialiste et du public ne sont pas suffisamment différents pour justifier un développement distinct d’informations de référence pour ces différents publics. En revanche, l’option prise est de proposer plusieurs niveaux d’information et des ressources complémentaires correspondant à des besoins d’information spécifiques.

    Plusieurs niveaux de lecture sont proposés aux internautes afin de satisfaire les différentes typologies d’internautes : un lecteur pressé appréciera les fiches synthétiques avec des titres et sous-titres explicites, des introductions générales à chaque thématique, tandis qu’un lecteur souhaitant des informations plus détaillées appréciera d’accéder à l’intégralité d’une fiche d’information ainsi qu’à des ressources complémentaires « pour en aller plus loin » structurées en fonction du profil des utilisateurs (liens vers des études, publications, rapports…pour les professionnels et liens vers des guides d’informations, dossiers… pour les patients et proches.

    Une méthodologie

    Ce portail fournit des informations relevant de l’ensemble du champ de la prévention des cancers et de l’environnement  dans le respect des principes méthodologiques suivants :

    • les sources d’information de référence utilisées sont les dernières données scientifiques, médicales et techniques disponibles au niveau international – en particulier les monographies du CIRC pour lesquelles le Département propose des traductions en français des résumés – au niveau national et régional. Les sources figurent explicitement en références dans chaque document.
    • les critères de qualité en matière d’élaboration d’informations en santé sur internet ont été respectés, conformément au guide méthodologique de la Haute Autorité de Santé (HAS) « Élaboration d’un document écrit d’information à l’intention des patients et des usagers du système de santé ». Le site s’inscrit dans la démarche de certification HAS-HONcode . Le développement du site a également tenu compte des règles d’accessibilité et des recommandations de codage de la structure et du style des pages afin de fournir une accessibilité optimale aux lecteurs de ce site et en particulier pour les personnes présentant des déficiences visuelles ou motrices (http://www.accessiweb.org/).
    • développement d’une structuration commune des informations au sein des 5 principales rubriques distinctes : Informations générales, Les cancers, Expositions environnementales, Nutrition et Activité Physique et Publications du CIRC
    • les différents acteurs du domaine « prévention, cancer et environnement » participent activement à la relecture des informations proposées : il s’agit de professionnels du Centre Léon Bérard – cancérologues, médecin du travail, nutritionniste, diététicienne, infirmière, épidémiologiste, chercheurs – d’experts extérieurs au Centre – professionnels de santé au travail, chercheurs en sciences humaines et sociales, associations, universitaires, institutionnels ainsi que des patients atteints de cancer, proches et usagers relecteurs des contenus.
      Organisé sur un mode collaboratif, ce site a plus largement vocation à contribuer à l’ensemble des objectifs du Département par une information adaptée aux besoins des différents acteurs, leur venant ainsi en aide dans la mise en œuvre des programmes de recherche et leur valorisation.

    Un comité éditorial du site veille au respect des principes méthodologiques :

    • Dr Béatrice Fervers, oncologue médicale, PhD, HDR, Professeur associé, Coordonnatrice Département Prévention Cancer Environnement Centre Léon Bérard,Université Lyon 1
    • Dr Delphine Praud, Ph.D., épidémiologiste, INSERM, Département Prévention Cancer Environnement
    • Dr Margaux Rozenberg, pharmacien, chercheur assistant, Département Prévention Cancer Environnement, Centre Léon Bérard
    • Dr Barbara Charbotel, médecin du travail, MCU HCL-UMRESTTE, Axe Cancers Professionnels, Département Cancer Environnement, Centre Léon Bérard
    • Dr Olivier Tredan, oncologue médical, Centre Léon Bérard
    • Bruno Lafont, usager et proche de patient, Lyon

    Les membres du comité éditorial déclarent ne présenter aucun conflit d’intérêt financier avec l’industrie pharmaceutique ou laboratoire ou fabriquant de produits ou de matériels médicaux.

  • Système de veille scientifique

    Objectifs de la veille

    La mise à jour régulière du portail www.cancer-environnement.fr constitue un critère de qualité majeur, en tant que site Internet d’information santé. L’équipe éditoriale a donc mis en place une veille thématique afin d’assurer cette mise à jour du portail. Les informations ainsi collectées et analysées alimentent la rubrique « Actualités », et permettent une mise à jour des contenus des fiches d’information du portail ou des liens référencés.

    Quels types d’informations sont veillés ?

    La veille s’articule autour des thèmes principaux traités sur le portail :

    • les principaux cancers et leurs facteurs de risques environnementaux et professionnels
    • les comportements individuels, principalement l’alimentation et l’activité physique qui interagissent avec certains cancers.

    Sur ces thématiques, plusieurs types d’informations sont veillées : il peut s’agir d’actualités concernant des études (résultats, publications de référence), de la mise à disposition de nouveaux documents (rapports, textes officiels…) ou de sites Internet, d’articles ou de brochures d’information à destination des personnes malades, de leurs proches, du grand public ou des professionnels de santé. Les évènements en lien avec la thématique « prévention, cancer, environnement et nutrition » sont également veillés (congrès, colloques, réunions d’information, conférences, etc.) afin d’être diffusés sur le portail et/ou sur nos réseaux sociaux.

    Sources et outils utilisés

    Deux types de veilles sont utilisées : la veille des sites Internet et la veille bibliographique.

    Actuellement, une centaine de sites Internet sont veillés à l’aide de flux RSS et/ou de lettres d’information. Ce sont principalement des sites partenaires du portail cancer-environnement.fr, en particulier le site du Centre International de Recherche sur le Cancer, des sites d’agences sanitaires, d’instituts de recherche, des portails ministériels, sociétés savantes et associations.

    Pour la veille bibliographique, une vingtaine d’équations de recherche a été programmée sur Pubmed : une équation « transversale » sur la thématique cancer et environnement, et des équations spécifiques sur certains facteurs environnementaux (substances chimiques, comportements individuels).

    L’ensemble des informations issues de ces contenus automatisés est géré par un membre de l’équipe responsable de la veille, grâce à un lecteur de flux RSS et la transmission d’information par messagerie électronique.

    Une sélection des informations est réalisée en fonction de leur pertinence (respect des thématiques veillées) et leur qualité scientifique (notamment en ce qui concerne les publications scientifiques).

    En pratique

    L’équipe éditoriale du portail cancer-environnement.fr sélectionne les informations à publier sur le portail. Cette publication peut prendre plusieurs formes :

    • la publication ou programmation d’une actualité : évènement ou document d’intérêt,
    • mise à jour du contenu d’une fiche d’information : intégration d’une évolution significative des données scientifiques, nouvelles informations de référence au niveau national ou régional en lien avec la thématique d’intérêt,
    • ajout d’une référence au sein d’une fiche d’information (rubrique « Pour aller plus loin » ) : document, site Internet.

    Ce système de veille permanent permet d’assurer la cohérence des contenus du site, en suivant l’actualité scientifique du domaine.

    Si vous souhaitez nous faire part d’une information à relayer sur le portail cancer-environnement.fr, vous pouvez nous en informer en écrivant à : cancer-environnement@lyon.unicancer.fr.

    Perspectives

    Le comité éditorial du portail cancer-environnement.fr travaille actuellement à la formalisation d’une nouvelle version de son bulletin de veille mensuel dédié à la thématique cancer-environnement, avec le soutien de la Région Rhône-Alpes. Ce e-bulletin permettra de diffuser plus largement ces informations de référence et de relayer les travaux des principaux acteurs du domaine, auprès de l’ensemble des internautes intéressés.

Auteur : Département Prévention Cancer Environnement, Centre Léon Bérard

Mise à jour le 16 janv. 2023

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